Sources: Fradin, Chapter 15, Florensac

This page, like all of those in the “Sources” section of this site, collects some of the source documents that, for reasons of length or other considerations, don’t get included in the body of the main pages and articles. They are posted here, in part for my own reference, and in part to share the work that I have done while researching the book.

In particular, this page reproduces Chapter 15, “Madame de Florensac”, of Gabriel Letainturier-Fradin’s 1904 biography La Maupin, 1670-1707, sa vie, ses duels, ses aventures both in French and in English. Like La Maupin, Mistress of the Sword, Fradin’s book is a novelization of La Maupin’s life, and he does fictionalize freely. For instance, he changed the year of her birth from 1673 to 1670 to allow her time to accomplish “a number of feats impossible for so young a girl”A. Still, he does frequently cite his sources, as can be seen below.

While Fradin was not the first to speculate that La Maupin and Florensac were lovers, he does embellish the tale. From the simple declaration that Florensac “honored Mlle Maupin with her friendship and protection” and in turn La Maupin “bitterly wept the loss of this lady” and ended her career, Fradin spins a tale of love, passion and licentious debauchery.


Chapter XV. Madame de Florensac

La seule note qui donne quelques détails sur ce départ de la Maupin se trouve à la Bibliothèque Nationale dans le Manuscrit des Frères Parfaict:

Sa retraite fut occasionnée par la mort de Mme la comtesse de Florensac qui honorait Mademoiselle Maupin de son amitié et de sa protection. Mademoiselle Maupin, après avoir pleuré amèrement la perte de cette dame, demanda son congé et se retira dans un quartier éloigné.1

Qu’était cette comtesse de Florensac et quelles ont pu être les relations entre les deux femmes?

Saint-Simon, si précieux à consulter pour tous les détails relatifs aux généalogies, pour les notices nécrologiques et en général pour tout ce qui concerne la noblesse, Saint-Simon nous dit (1705):

La marquise de Florensac2 mourut aussi à trente-cinq ans, la plus belle femme qui fut peut-être en France. Elle étoit fille de Saint-Nectaire3 et d’une soeur de Longueval, lieutenant-général tué en Catalogne sans avoir été marié. Sa mère avoit été fille de la Reine, avoit été belle, et, avec de l’esprit, du crédit et de l’intrigue, avoit fait des procès à son beau-frère, qu’elle sut tourner en criminel et qu‘elle abrutit dans les prisons, dont il ne sortit qu’avec beaucoup de temps et de peine, s’accommoda et ne se maria point. Ainsi Mme de Florensac fut fort riche. Elle fit bien des passions et fut accusée de n’être pas toujours cruelle d’ailleurs, la meilleure femme du monde, la plus douce et la plus simple dans sa beauté. Elle fut exilée pour Monseigneur dont l’amour commençoit à faire du bruit. Son mari4, frère du duc d’Uzès, menin de Monseigneur et le plus sot homme de France, ne s’en aperçut point et l’aimoit passionnément. Elle mourut en deux jours de temps et ne laissa qu’une fille5, belle aussi, mais non pas comme elle, qui se pique de toute sorte de savoir et d’esprit, et qui est aujourd’hui duchesse d’Aiguillon, Dieu sait comment et Madame la princesse de Conti aussi.6

Saint-Simon, on le voit, ne fait qu’effleurer le sujet des amours de Mme de Florensac, et cependant ses divers caprices furent connus de toute la Cour. Sa beauté, sa coquetterie lui valurent toujours une nombreuse suite d’adorateurs, qui ne furent pas tous dédaignés. Elle charma aussi Monseigneur Louis, dauphin de France, et bientôt le prince ne voyait plus que par la belle marquise de Florensac. Cette passion alarma le Roi, alors en pleine crise de dévotion sous la sévère autorité de Mme de Maintenon; et Louis XIV frappa, dans son indignation, non pas son fils, mais la volage épouse de M. de Crussol-Florensac; il l’obligea de s’éloigner des siens et l’envoya dans l’abbaye de Notre-Dame de Soissons.

Dans un Noêl sur les dames de la Cour, on raille la mesure royale:

La Florensac arrive

Plus belle que le jour,

Disant: Quoi! l’on me prive

Des plaisirs de la Cour.

Pour avoir, sous mes lois,

Mis les princes de France

Je séjourne à Soissons,
Dondon.

Fallait-il pour cela,
Lala,

Si rude pénitence ?7

Elle reparut à la Cour en avril 1701 et reprit sa vie galante. Une intrigue avec Monsieur, duc d’Orléans, frère du Roi, défraya de nouveau la chronique scandaleuse; cette fois, c’est la duchesse d’Orléans elle-même qui lance des couplets satiriques sur les amours de son mari.

Sur l’air de: Grimaudin

La Florensac se croit jolie,
Il n’en est rien;

Cependant sa plus forte envie,
Soir et matin,

C’est de loger mon Grimaudin

Dans son château de Gaillardin.

Lorsqu’on lui annonça que Mme de Florensac était accouchée et qu’on parlait du père probable, sans songer à son mari, la duchesse répondit:

Sur l’air du: Carillon

Orléans,
Beaugency,
Dauphin, Lecourti,
Le petit Duc, mon mari,
Tant d’autres ici,
Tant d’autres là,
Tant d’autres8.

Comment, dans cette vie galante et dans la fréquentation de si hauts personnages, Mme de Florensac connut-elle la Maupin? Naturellement, elle l’entendit chanter à la Cour, la vit à l’Académie Royale de Musique, mais de là à l’intimité il y a loin.

Ne serait-ce pas plutôt la renommée amoureuse de la Maupin qui aurait séduit la grande dame? Dans ce cas, tout s’expliquerait. Le désir de voir l’artiste, de l’entendre, de l’approcher, s’empara de Mme de Florensac; puis, elle se troubla devant l’allure garçonnière, la mâle prestance de la Maupin: où elle croyait voir une jolie femme, elle découvrait un aimable cavalier. De son côté, Mademoiselle Maupin admira la beauté, la grâce de la grande dame, et peu à peu lui suggéra sa passion fatale, cette inversion qui revenait sans cesse la troubler par ses tentations de luxurieuses débauches; elle pervertit les rêves amoureux, les secrètes pensées de la volage Mme de Florensac.

Elles avaient à peu près le même âge, elles étaient toutes deux aimantes, passionnées, l’une toute de douceur, l’autre tonte d’énergie virile. Le nombre de leurs amants les avait blasées sur l’amour ordinaire; la Maupin n’eut pas de peine à entraîner Mme de Florensac par la curiosité des délices promises, piment nécessaire à cette époque où les hommes donnaient eux-mêmes le répugnant exemple de ces amours unisexuelles.

La Maupin émerveilla bientôt la marquise par sa science amoureuse; leurs tendres relations s’affermirent davantage; l’actrice elle-même fut prise à son tour dans ses propres filets et l’amour, un amour véritable, une passion enivrante fit place au caprice qu’elle avait cru satisfaire.

Leur liaison dura sans doute de 1703 à 1705, et, pendant deux ans, elles vécurent de cette tendresse qu’elles pensaient idéale, éthérée, hors d’atteinte de la souillure des hommes; et les jeunes femmes s’isolèrent, énamourées, ne paraissant qu’en des occasions où leur présence était indispensable. En effet on ne trouve, après 1702, aucune chanson ni satire contre les deux femmes, sauf les critiques des rôles de la Maupin qui avait toujours conservé son emploi à l’Opéra.

C’est la seule manière d’expliquer les relations des deux femmes. Le caractère amoureux de la marquise, les antécédents et la renommée d’androgyne de la Maupin rendent cette supposition parfaitement possible, sans que l’on nous accuse de médisance.

Aussi, le 2 juillet 1705, jour de la mort de Mme la marquise de Florensac, la douleur de la Maupin fut-elle sans bornes. La maladie avait été prompte et avait emporté la jeune femme en deux jours.

Morte du pourpre en peu de jours, étant dans la fleur de sa jeunesse et de sa beauté.9

Dangeau, lui aussi, signale la mort rapide de la marquise:

Jeudi 2. - Madame de Florensac mourut à Paris; elle avoit environ trente-cinq ans et n’a été malade que deux jours.

En note, dans une addition, on cite la lettre suivante, adressée par la marquise d’Huxelles au marquis de la Garde, le 7 juillet:

Vous avez dû commercer avec M. de Florensac dans ce fameux hôtel de Rambouillet. Il faut vous marquer son affliction; elle fut telle au moment de la mort de Madame sa femme qu’il prit son épée pour s’en percer le coeur. Le P. Massillon l’arrêta et le mena au Noviciat des Jésuites.10

La Gazette, le Mercure, commentèrent également la mort foudroyante de Mme de Florensac11 et, deux jours après, le 4 juillet, elle fut inhumée dans le couvent des Carmélites de la rue Saint Jacques.12

La jeune femme laissait un mari inconsolable et une amante qui lui consacra le reste de sa vie.

Elle fut le dernier amour de la Maupin.


  1. Bibliothèque Nationale. Manuscrits français. Nouv. acquisitions, 6532, p. 97.
  2. Marie-Thérèse-Louise de Senneterre de Lestrange, née vers le mois de mai 1671, mariée au marquis de Florensac par contrat du 22 janvier 1688.
  3. Henri, dit le marquis de Saint-Nectaire, ou Sennecterre, ou Senneterre, de la branche des marquis de Châteauneuf, neveu du premier duc de la Ferté.
  4. Louis de Crussol, marquis de Florensac, frère cadet du duc Emmanuel d’Uzès, servit comme cornette dans la deuxième compagnie des Mousquetaires de 1665 à 1671, eut un régiment de cavalerie en 1674, quitta le service le lo mars 1693. C’était un familier de Monseigneur (le Dauphin), ayant été nommé l’un de ses six menina en 1680. Il mourut le t 5 mai 1716 à l’âge de soixante et onze ans.
  5. Elle laissait aussi un fils qui fut colonel au régiment de Béarn.
  6. Saint-Simon annoté par Boislisle, 1897. Tome xm, p. 47-49.
  7. Bibliothèque Nationale. Manuscrits français, 12624.— Chansonnier historique, fol. 81 et 12754, P. 49.
  8. Bibliothèque Nationale. Manuscrits français, 12754. — Chansons de la Vieille Cour, p. 75 et 1260. — Recueil de Chamans, p. 304.
  9. DE SOURCHES. - Mémoires. Tome ii, p, 121 et 129.
    Le diagnostic indiqué par De Sourches est sans doute la maladie aujourd’hui appelée purpura.
  10. Journal de Dangeau, édit. 1857, tome x, p. 359.
  11. Gazette, 1705, page 336. Le Mercure Galant, juillet 1705, p. 68-72.
  12. Ananas. — Histoire Généalogique et Chronologique des Pairs de France, 1728, in-fol. in, p. 775.

Chapter XV. Madame de Florensac

The only note that gives a few details on La Maupin’s departure is found at the National Archives in the manuscript of the Parfaict brothers:

Her retirement was occasioned by the death of Mme la comtesse de Florensac, who honored Mlle Maupin with her friendship and protection. Mlle Maupin, after having bitterly wept the loss of this lady, requested her leave and withdrew to a distant quarter.1

Who was this Comtesse de Florensac, and what could have been the nature of the relations between the two women?

Saint-Simon, so precious a source for consulting on all details related to genealogies, for obituary notices, and generally for all that concerns the nobility—Saint-Simon tells us (1705):

The Marquise de Florensac2 also died at thirty-five, the most beautiful woman who perhaps ever was in France. She was the daughter of Saint-Nectaire3,B and of a sister of Longueval, lieutenant-general, killed in Catalonia without ever having married. Her mother had been a fille de la Reine, had been beautiful, and, with wit, influence, and intrigue, had brought lawsuits against her brother-in-law, which she succeeded in turning into criminal cases, and she ground him down in prison, from which he emerged only after much time and difficulty, settled the matter, and never married. Thus Mme de Florensac was very rich. She inspired many passions and was accused of not always being cruel; moreover, she was the best woman in the world, the gentlest and simplest in her beauty. She was exiled on account of Monseigneur, whose love had begun to cause a stir. Her husband,4 brother of the Duc d’Uzès, page ("menin") to Monseigneur and the most foolish man in France, never noticed a thing and loved her passionately. She died in two days’ time and left only a daughter,5 beautiful too, though not like her, who prides herself on all kinds of learning and wit, and who is today Duchesse d’Aiguillon—God knows how, and Madame la Princesse de Conti also.6

Saint-Simon, as one sees, only brushes the surface of the subject of Mme de Florensac’s love affairs, and yet her various caprices were known throughout the Court. Her beauty and coquetry always earned her a numerous train of admirers, not all of whom were rejected. She also charmed Monseigneur Louis, Dauphin of France, and soon the prince could see only through the eyes of the beautiful Marquise de Florensac. This passion alarmed the King, then in the full grip of religious devotion under the stern authority of Mme de Maintenon; and Louis XIV struck, in his indignation, not his son but the fickle wife of M. de Crussol-Florensac: he compelled her to separate from her kin and sent her to the abbey of Notre-Dame de Soissons.

In a Noël (satirical Christmas song) about the ladies of the Court, the royal exile is mocked:

Florensac arrives

More lovely than the day,

Saying: What! am I deprived

Of the pleasures of the Court?

For having, beneath my sway,

Enchained the princes of France

I dwell in Soissons,
Dondon.

Was it truly deserved,
Lala,

Such harsh penance?7

She reappeared at Court in April 1701 and resumed her gallant life. An affair with Monsieur, Duke of Orléans, the King’s brother, again stirred scandalous gossip; this time, it was the Duchess of Orléans herself who launched satirical verses about her husband’s love life.

To the tune of: Grimaudin

Florensac thinks herself pretty,
She is not at all;

Yet her strongest desire,
Evening and morning,

Is to lodge my Grimaudin

In her château of Gaillardin.

When she was informed that Mme de Florensac had given birth and that people speculated about the likely father — without considering her husband — the duchess replied:

To the tune of: Carillon

Orléans,
Beaugency,
Dauphin, Lecourti,
The little Duke, my husband,
So many others here,
So many others there,
So many others8.

How, amid this gallant life and the company of such eminent persons, did Mme de Florensac come to know La Maupin? Naturally, she would have heard her sing at Court, seen her at the Royal Academy of Music, but intimacy is another matter entirely.

Might it not have been rather the amorous reputation of La Maupin that captivated the great lady? In that case, everything becomes clear. The desire to see the artist, to hear her, to approach her, seized Mme de Florensac; then she was unsettled by La Maupin’s boyish bearing, her manly presence: where she had thought to see a beautiful woman, she discovered a charming cavalier. For her part, Mlle Maupin admired the beauty and grace of the grand lady, and little by little instilled in her a fatal passion—this inversion that kept returning to trouble her with temptations of lascivious debauchery; she perverted the amorous dreams, the secret thoughts of the flighty Mme de Florensac.

They were about the same age, both loving and passionate, one all gentleness, the other full of virile energy. The number of their lovers had left them jaded with ordinary love; La Maupin had no difficulty in drawing Mme de Florensac in by the curiosity of promised delights, a necessary spice in that era when men themselves set the repugnant example of same-sex loves.

La Maupin soon dazzled the marquise with her erotic skill; their tender relationship grew stronger; the actress herself was in turn caught in her own snare, and love—a true love, an intoxicating passion—replaced the whim she had thought to satisfy.

Their liaison likely lasted from 1703 to 1705, and for two years they lived in a tenderness they thought ideal, ethereal, untouched by the defilement of men; the young women secluded themselves, enraptured, appearing only on occasions where their presence was indispensable. Indeed, after 1702, no songs or satires are found targeting the two women, apart from critiques of La Maupin’s roles, as she had always retained her position at the Opera.

This is the only way to explain the relationship between the two women. The amorous nature of the marquise, and La Maupin’s background and reputation as an androgyne, make this supposition perfectly plausible, without exposing us to accusations of slander.

Thus, on July 2, 1705, the day of the death of Mme la marquise de Florensac, La Maupin’s grief was without bounds. The illness had been swift and carried off the young woman in two days.

Died of purple fever in a few days, in the flower of her youth and beauty.9

Dangeau also notes the marquise’s rapid death:

Thursday the 2nd – Madame de Florensac died in Paris; she was around thirty-five years old and had been ill for only two days.

A note, in an addition, cites the following letter, sent by the Marquise d’Huxelles to the Marquis de la Garde on July 7:

You must have mingled with M. de Florensac at that famed Hôtel de Rambouillet. You must be told of his anguish; it was such, at the moment of his wife’s death, that he seized his sword to pierce his heart. Father Massillon stopped him and took him to the Jesuit Novitiate.10

The Gazette and the Mercure also commented on the sudden death of Mme de Florensac11, and two days later, on July 4, she was buried in the Carmelite convent on rue Saint-Jacques.12

The young woman left behind a heartbroken husband—and a lover who would dedicate the rest of her life to her.

She was La Maupin’s final love.


  1. Bibliothèque Nationale. Manuscrits français. Nouv. acquisitions, 6532, p. 97.
  2. Marie-Thérèse-Louise de Senneterre de Lestrange, born around May 1671, married to the Marquis de Florensac by contract on 22 January 1688.
  3. Henri, known as the Marquis de Saint-Nectaire, or Sennecterre, or Senneterre, of the branch of the Marquises of Châteauneuf, nephew of the first Duke of La Ferté.
  4. Louis de Crussol, Marquis de Florensac, younger brother of Duke Emmanuel d’Uzès, served as cornet in the second company of the Musketeers from 1665 to 1671, obtained a cavalry regiment in 1674, and left the service on 10 March 1693. He was a close associate of Monseigneur (the Dauphin), having been appointed one of his six meninsC in 1680. He died on 15 May 1716 at the age of seventy-one.
  5. She also left a son who became colonel in the Béarn regiment.
  6. Saint-Simon annotated by Boislisle, 1897. Volume XIII, pp. 47–49.
  7. Bibliothèque Nationale. Manuscrits français, 12624 — Chansonnier historique, fol. 81 and 12754, p. 49.
  8. Bibliothèque Nationale. Manuscrits français, 12754 — Chansons de la Vieille Cour, p. 75, and 1260 — Recueil de Chansons, p. 304.
  9. DE SOURCHES – Mémoires, vol. II, pp. 121 and 129.
    The diagnosis indicated by De Sourches is likely the illness today known as purpuraD.
  10. Journal de Dangeau, ed. 1857, vol. X, p. 359.
  11. Gazette, 1705, p. 336. Le Mercure Galant, July 1705, pp. 68–72.
  12. Ananas — Histoire Généalogique et Chronologique des Pairs de France, 1728, folio in-3°, p. 775.

Editor’s Notes

  1. On page 15, Fradin writes (translation by ChatGPT, emphasis added by me):
    “The only concern of d’Aubigny was, it seems, having a daughter around 1673. We would tend to push this date forward and place it at 1670; no text confirms this opinion, but at the time of Mademoiselle Maupin’s debut she had already accomplished a number of feats impossible for so young a girl.”
  2. Saint-Nectaire / Senneterre / Sennecterre: All are variant spellings of the same noble family name—de Saint-Nectaire—a prominent lineage from the Auvergne. “Senneterre” was often used phonetically in correspondence or records.
  3. menin: A ceremonial position at court—one of six young noblemen appointed as personal attendants to the Dauphin (son of the king), created by ordinance in 1680.
  4. purpura: Likely refers to a hemorrhagic illness, now classified as immune thrombocytopenic purpura (ITP), historically called “purple fever” due to the discoloration it caused.